Zacharie le barde... [Postulation au rang de chef des chevaliers de Komalie]

I/ Identification

Nom : Zorafor
Prénom : Zacharie
Age : 20 ans
Sexe : Masculin
Royaume de Naissance : Komalie
Royaume Habité : Komalie
Allégeance à : Komalie
Rôle : Chef des chevaliers de Komalie

II/ Façonnage

Description Psychologique : Par où commencer… Zacharie est un grand homme poli et socrate(Pour les incultes : Poétique). Il a toujours été un jeune garçon d’énergie et d’imagination, sur toutes les terres enkievs, on ne connu jamais d’homme plus imaginatif. Ce petit homme tout aussi inspirant qu’il soit est un excellent conteur et chanteur, son talent accru dans ces caractéristiques lui donne la réputation du barde de l’ordre. Intelligent, naïf, fougueux, brave et courtois sont ses petites qualités à lui, même si l’on considère la seconde davantage comme étant un défaut. Ce gamin bourré de talent est un fin stratagème et un fourbe extrême. On ne peut vraiment le décrire psychologiquement tant il a de complexes, mais une chose est certaine c’est que ce « flot » bruyant forme l’élite des jeunes les plus concevablement jeune. Néanmoins, il a les traites de bases concernant la politesse : L’honnêteté, le courage, la noblesse, l’impétuosité, le dossier clair, l’amicalité et, enfin, la force. En bref, il se sent digne du rôle qu’il doit accomplir et prêt à tout. Malgré toutes ses qualités incessantes, Zacharie n’en est pas moins bourré de défaut, par exemple : La gêne et le fait de toujours vouloir être parfait, mais cela forme un petit côté aimable à cet homme sage, audacieux et agité à la fois.

Description Physique : Alors vous voulez voir quoi en premier ? La tête ou les pieds ? Si c’est les pieds, commencez par la fin ! Ce chenapan au caractère fébrile n’en est pas moins un magnifique jeune homme. En commençant par les cheveux, ils portent une magnifique chevelure noire et hérissée qui lui donne les airs commodes d’un homme agressif. Finement taillé et juste assez pointu, son visage serein est magnifique, ne laissant paraître aucun grain de beauté, bouton, tache de rousseur ou point noir. Son nez, toutefois, semble couper le visage carré, mais cela ne lui cause pas trop de problème comme ses lèvres minces viennent supprimé ce détail ridicule sur sa truffe. Un cou élancé fusionne cette tête radieuse à un corps musclé, pour n’importe quelle âge qu’il aura, il est en effet, l’un des plus musclés élève. Pour en ajouter, ses pectoraux sont taillés depuis toujours dans sa sculpture mince, mais battit, lui élargissant ainsi le corps. Ensuite, il rechute en un creux de minceur pour laisser place, ensuite, à un élargissement au niveau des anches. C’est ensuite que l’on atteint sa taille musclé où la fermeté règne. Jambes musclés, silhouette de taille… c’est ensuite dans ce tas musclé que se taille ses pieds, assez large. Pour la question de sa tache de naissance, derrière sa nuque, elle à la forme d’un croisement d’épée.



Armes : Épée à double tranchants et double lames

Pouvoirs :
Maîtrise de l'eau
Allégeance douloureuse: Zacharie envoie une grande souffrance à la personne de son choix. Toutefois, Zacharie la ressent également.
Télépathie

Histoire :

Comment décrire une vie si brève quand on ignore complètement l’identité de nos parents ? C’est vous qui saurai répondre à cette question, puisque le récit d’une vie, ça commence au bercail, à la rencontre des futurs parents.



Tout commença le jour où le bon samaritain, du nom de William de Komalie, sauva des griffes d’un torride puit avide d’eau la douce femme qu’était Ésia de Komalie. C’est ce jour là que leur couple naquit. Laissé moi vous raconter ce récit exotique à l’étoffe de ma plume.



Mystère et boue de gomme sur ce point caractéristique, comment un homme si chatoyant et riche pouvait-il avoir besoin en ce jour précis, à cette heure tapante d’un verre d’eau ? Nul ne le savais, puisque rare était les fois où un fils de bourgeois sortait de sa demeure sans garde ou que ce soit lui qui éclaircisse le boulot d’aller chercher l’eau au puit du village. Était ce un châtiment ou une simple ravivure que de traité l’eau de ses mains ? Bon, sans doute n’avait-il pas les idées claires ou peut-être était ce que sa mère venait de mourir ? Eureka ! La déchirure ! Le renvoie des domestiques ! C’était pour ça que le maigre bourgeois devait faire ses tâches seul avec son fils et ses filles. M’enfin pour revenir à ce récit romanesque : William, jeune bourgeois qu’il était se hissait dehors de chez lui, cachant ses sentiments et se cambrant à chaque petit coin sombre qu’il pouvait. Gardant en tête le but de sa quête, car oui pour lui c’était une quête, récupérer un seau d’eau du puit ! Affrontant les dragons et les hommes-insectes qui se pointaient à l’issu de son nez, leur seul moyen de survie, la fuite. Chaque allié qui mourrait pour lui causait la peine, la même peine qui l’envahissait depuis le matin : La mort de sa maternelle. Ne faisant office d’aucune douleur lorsqu’il parvenait à ses batailles titanesques… après tout un môme de huit ans avait de quoi survivre face à eux… un seau vide, ou plein d’air, dépend des goûts. S’imaginant que ce petit contenant était en fait l’épée la plus grosse et la plus puissante, taillé par la magie qu’il aurait put manipuler. (C’est de là que Zacharie tient ce trait). Valscifiant chaque sifflement d’oiseau d’un coup dans le vide, le petit William continuait amèrement sa promenade agitée, passant proche à plus d’une fois d’heurter la tête d’un passant. S’étant repris à heurter les étalages, il s’arrêta enfin, tout épuisé et chamboulé par la guerre qu’il venait de gagner à lui seul. Lorsqu’il s’approcha du carrefour, il put enfin entendre le cri de la foule qui se faisait habituel pour lui, mais, aujourd’hui, il y avait un bruit encore plus étrange que jamais, comme un hurlement, ce n’était pas un marchand qui l’émettait, mais bien une dame ! Rageant, le bourgeois fonça, tête baissée, dans les gens pour enfin atteindre le puit, de ce trou émanait l’appel strident de la femme. Il jeta un œil dans la source d’eau pour y voir la fille, elle ne semblait pas plus âgé que lui. Dès lors, il cria confidemment :



- N’ayez craintes gente dame ! Je suis là pour vous aider ! Je vous sortirez de ce trou coûte que coûte !



Malaxant tout effort possible, il regarda autour de lui et retomba dans un scénario enchanté : Cette fois-ci, il se retrouvait devant une large tour dans laquelle une princesse était retenue par un puissant dragon qui lui faisait face. Il évaluait chaque possibilité qui s’offrait à lui pour sauvé la gamine, il voyait bien qu’elle se tenait par une corde, mais il avait envie de se compliquer la vie. Or, le dragon vint l’attaquer, lui qui était perché sur son cheval avec la lourde armure des chevaliers d’Émeraude stagnait à fuir, il pointait plutôt son bouclier vers le haut pour éviter quelques flammes qu’il soit. William ne sut de suite que faire, une foule s’amassait autour d’eux, tandis que dans sa tête c’était plutôt les congénères dragons qui venaient pour le tuer en son cas également. Il débarqua de sa monture et exécuta une roulade à droite pour s’infiltrer derrière son immense adversaire qui ne l’eut vu puis lui enfonça l’épée directement au centre de la colonne. Réellement, il venait simplement de saisir la corde et avait commencé à tiré. La flotte s’en sortait tranquillement, ce ne fut pas moin long que l’on put voir sa tête. Il s’agissait d’une fille blonde aux yeux d’un bleu clair épatant, le regard de foudre, comme certain l’appelait. Aussitôt qu’il eut fini son sauvetage il se heurta contre elle alors que dans ses songes, il escaladait la tour pour rejoindre la princesse et lui voler un long baiser. Il languit à ses actes, puis déposa un baiser sur la joue de la personne qu’il venait de sauver en rougissant. Elle prit alors d’une voix timide :



- Puis-je connaître le nom de mon sauveteur ? Personnellement, je suis la fille de duchesse : Ésia de Komalie. Et vous… mon preux chevalier ?



Elle avait dit ses derniers mots avec hésitation, mais elle ne pouvait enfreindre le code d’honneur de tout bon conteur : l’exagération des titres mutuelles. Endiablé du pas de la dame, il ne la fit languir plus longtemps qu’en déposant un second baiser et répondant :



- Je… je… je… suis le grand chevalier… je veux dire fils de bourgeois : William de Komalie. Pour vous servir ma’am !



De telles lurettes, il n’y en eu plus. Puisqu’ils devinrent d’excellents amis, enfin, quelqu’un avait rejoint l’ordre du grand sir William. Elle faisait une excellente dame et une épouse magnifique, c’est pourquoi, le jour de leur dix-huit ans, il lui demanda sa main et c’est neuf mois plus tard que j’entrais en scène.



Mes petits yeux s’ouvraient pour la toute première fois alors qu’autour de moi, le sang de maman s’évacuait à la même vitesse qu’une hémorragie pouvait vider une personne du précieux liquide rouge qui hantait notre corps. Le sac dans lequel je baignait depuis d’illustres mois sans fin commençait à ramollir évacuant en même temps que le fluide amniotique qui était censé me protéger. Myriades d’effluves se firent immédiatement sentir, après quelques heures je quitta le nid de maman, seul bruit, les sages femmes qui hurlait. Jeune comme j’était, je ne pouvais défriché leur mot, mais je savais que c’était grave, très grave ! Endoloris de multitudes d’engourdissements, je levai les bras dans les airs et commença à réclamer une attention attendrie. Dès lors, les femmes se ruèrent vers moi, me prirent dans les bras et me montrèrent à un homme qui braillait à sens, il me repoussa et partit en courant. Stupéfaites, elles m’avaient déposés dans un petit lit plastifié dans le quel je pouvais apercevoir toutes les choses de l’extérieur, j’y était d’ailleurs très intrigué. Les dames me déposèrent dans la pouponnière et je n’en ressorti que plusieurs semaines après. Un commerçant m’avait cueilli, comme un fruit mûr, et était repartit.



Naïf, je vieilli à ses côtés le nommant Dah’, ne me demandez pas pourquoi, je l’ignore moi même. C’est donc ainsi que je rejoint sa famille à Komalie, j’avais trois sœurs et un seul frère, que j’entraînait toujours dans de cupides aventures gaffeuses, gratifiantes et, parfois, déficientes, puisqu’elles nous attiraient les foudres de Dah’. À chaque fois, je rageait et me promettait de retrouver le trou de mélancolie qui me hantait, mais c'était aussi à ces occasions que je ne m’en sentais pas capable : Quitter cette famille d’adoption pour ne plus jamais revenir. Mon père m’avait dit la vérité dès que j’eus pu comprendre le sens de ses paroles, c’est pourquoi je le savais. Le plus décevant dans toute cette histoire, c’était que je n’avais aucunement droit à l’utilisation des pouvoirs que je m’était découvert et en plus, Dah’ m’interdisait de chanter ou de jouer de la harpe qu’il m’avait acheté.


Quatre années passèrent en leur compagnie et c’est nostalgique que je quitta mes frères et mes sœurs, Dah’ n’en pouvait plus de mes bêtises et m’envoyait en ce matin même vers le château, rejoindre les rangs des Chevaliers de Komalie. C’est donc avec plaisir qu’il rêva désormais de devenir le plus grand chevalier de tout les temps et peut-être d’un jour devenir chef de ce régiment de puissance.


III/ Informations


Où avez vous connu le forum ? Une pub
Quel age avez-vous ? 14 ans
Quel est votre niveau de RP ? 7/10
Votre présence sur le Forum ? Ça dépend des études, mais normalement c'est fréquent.
Notes : J'adore le design ! Et Malak, tu pourrais peut-être ajouter la section des journaux pour que l'on puisse compter nos vies.

[Code Ok By Eryll]

Bienvenu !
En premier je pense qui tu peux effectivement postuler au poste de chef des Chevaliers de SAPHIR et pas de Komalie (ça revient au même mais bon^^)
Sinon jolie fiche malgré quelques petites incohérences (j'ai réussi à deviner que cette fiche provient à l'origine d'un forum sur les chevaliers d'Emeraude), par exemple tu parle justement d'Emeraude, et la fin de ton histoire est un peu illogique, car Irianeth n'existe pas ici !

Sinon il te manque deux codes que tu trouvera dans les règles

Tu fais les changements, tu met les codes, et je te valide^^ (après le passage du chefchef Malak)

Bienvenu !

Je suis d'accord avec Eryll pour tout ce qu'elle à dit, mais je rajoute juste une chose, tu ne peux pas avoir DEUX épées à double lame ^^'

Bonne continuation...

Vla édité

C'est bon maintenant^.^
Alors, tu te trouve un Avatar et je te valide, à moins qu'il ne soit en préparation, dans ce cas présise le !

Elle est en préparation, effectivement.

Bon alors dans ce cas là, je te valide !
Tu attendras qu'un amin passe pour ton rang et ta couleur !