Ce matin là, j'avais décidé de me rendre sur les ruines de mon ancien village qui avait été dévasté il y a peu de temps, je mettais donc le levée, après avoir prié le dieu de notre royaume le griffon, j'étais parti me purifier dans les bains du château situé dans les airs, je parcouru quelques couloirs, entra dans la pièce des bains et enleva mes habits, je rentra dans l'eau chaude et après quelques minutes, je sortis et fila dans ma chambre, je n'avais pas envie de me faire masser, je m'habilla donc avec la tenue de mon père que j'avais en des tas d'exemplaire. Mon père... Je crois que malgré les 3 dernières années où je ne lui ai pas parler, il allait me manquer, rien que l'idée de ne pas le revoir ni lui ni ma mère, si je retrouvais ceux qui avait démoli mon village et avait tué mes parents, je crois que je ne me retiendrais pas. Je m'habilla donc et mis mon épée à deux mains dans le dos, un fois que se fut fais, je me rendis au écurie et pris mon cheval, il était assez grand et avait une robe de couleur blanche, je le brossa pendant plusieurs instants et le scella, avec une selle légère. Je fis alors sortir le cheval dans la cour et grimpa dessus, je mis mes pieds dans les étriers et fit entrer le cheval dans les transporteurs qui m'emmenèrent au pied de la citadelle aérienne. Je regarda alors en direction de l'est l'horizon, je talonna alors mon cheval et il partit au galop...
Je galopa pendant une journée, le soir, je me reposa au milieu d'une plaine avec un feu que j'avais allumé, je lu des poèmes, je m'emdormis alors à la belle étoile en repensant à mon village, si j'y étais rester, tout ça ne serais pas arrivé, mais je ne pouvais pas changer le passé. Le lendemain, je me réveilla et partis après un petit déjeuner frugal composer de baie et d'eau, j'atteignis alors rapidement mon village, je laissa mon cheval dans une prairie alentour et me rendit à pied jusqu'à mon village, tout avait pris feu et n'était plus que cendre et poussière, mais qui avait pu faire ça ? Je me dirigea alors vers la chapelle du village, quand j'arrivai devant, elle aussi vaait pris feu, mais je vis les tombes creusée par les hommes qui avaient découvert les villageois, je m'approcha alors des tombes de mes parents, il y avait écrit sur leurs tombes:
"Ci-gît, Catherine dragondargent et Arthur dragondargent, parents du chevalier de Zircon Evalion"
Quand je vis les noms de mes parents, deux petites gouttes sortirent de mes yeux mais rien de plus, je n'arrivais pas à pleurer, je ne sais pas comment ça se faisait, mais je n'y arrivait pas, je crois que c'était plus fort que moi il fallait que je reste calme et serein, aucune émotion s'affichait sur mon visage comme toujours, je pris alors l'un des recueillis de poésie, je choisi alors un poème, celui que mon père préférait, c'était un que j'avais composé avec son aide, je dit alors à haute voix:
Un soldat blessé gravement au combat,
Il sentait la main froide de la mort,
Il s'entait qu'elle l'emmènerait loin de là,
Loin de tout les mauvais sort,
Mais loin de sa famille,
Loin de ceux qu'il aime tant,
Il revit un court instant,
Sa mère lui préparant des gâteaux à la vanille,
Son père en train de lui raconter des histoires,
Et sa sœur en train de le regarder lui parler d'autres territoires,
Mais après quelques instant plus rien,
La vie l'avais quitté,
Sa fin était arrivée,
Mais sa mort ne servit pas à rien,
Car il allait libérer une place dans se bas monde,
pour un enfant et la joie de ses parents.
Ce poème disais bizarrement un peu tout et n'importe quoi, mais c'est le faîtes que nous l'avions faits ensemble moi et mon père et c'est pour ça qu'il l'aimait. Je déposa alors le recueuil sur la tombe de mes parents et me retourna pour rejoindre mon cheval, mais en me dirigeant vers la prairie, j'entendis des bruits, un survivant ou une des personnes qui avaient causées la fin de mon village ? Je sortis mon épée à deux mains et me dirigea vers le bruit, je vis une silhouette fine s'avancer à côté de son cheval, je la suivis alors et la rattrapa, je dis alors à haute vois:
-Savez vous qui à fait ça ? Et qui êtes vous ?
J'avais posé deux questions, mais des tas d'autres bousculaient mon esprit, j'attendis alors la réponse de la silhouette qui en me rapprochant était une jeune femme.