Un vertige [pv LIBRE]

Ce matin là je me réveillais en sursaut… Brusquement, subitement… Me rappelant mon quotidien je grognais et refermais les yeux, le morale au plus bas. Aujourd’hui, comme hier, rien à faire. J’essayais de me remémorer mon rêve… Ah oui ça y est… Je chevauchais ma jument, Shilow, le soleil se couchait, mes cheveux ébène dansaient aux grés du vent, un sentiment inconnu emplissait mon corps d’adrénaline, je me sentais merveilleusement bien mais tout dans mon attitude, mes pensées mes gestes, me semblaient fébriles, comme si j’essayais de plaire à quelqu’un… Dans mon état de semi-conscience je fronçais les sourcils. Personne n’avait encore pris une telle place dans mon cœur… Certes ma sœur, Shayan comptais énormément pour moi, mais de là à être fébrile pour elle… Non… Soudain je m’aperçu qu’une seconde personne chevauchait à mon coté. Sa silhouette était floue… mais je parvins à distinguer son allure… Pas de doute c’était un homme. Haletante je me re-réveillais encore plus agitée que la première fois. Ce n’est qu’un songe… La voix de mon père résonnait dans mes oreilles comme si son altesse était à mon chevet. Souvent, lorsque j’étais encore une gamine, j’avais fait d’horrible songe qui avaient hanté mes nuits et pas mal de mes journées. Mais comme souvent avec l’âge se genre de choses s’en allaient. Je sortis de ma couche et m’habillais en silence. Avec qui aurais-je pus parler. Je n’avais pas envie d’accabler mes frères de paroles peut distrayantes. Malgré moi, je demeurais seule, solitaire. J’avais bien-sûre le temps devant moi mais mon impatiente était sans limite. Je me dirigeais vers l’écurie, sellais Shilow, et parti faire un tour pour me changer les idées. Pourtant cette silhouette floue et toutes ces sensations qui m’avaient semblées réelles… cela me rendait encore plus morose… Je mettais ma jument au galop espérant que la vitesse grisante me ferait enfin oublier mes ennuis. Je fermais les yeux la sensation était bien là…Un vertige me prit, ma tête tournais, la chute fut courte mais brutale, je demeurais inconsciente quelques instants…

[ c'es court dsl >< je pourrais rép que vendredi]

Gabriel, ce jour là, sortis de sa chambre et de sa pièce fétiche qu'étais son laboratoire, l'air libre lui ferrais le plus grand bien, il travaillait trop, il cherchait un moyen pour remonter dans le temps, mais c'était impossible et il venait de prendre conscience que le temps était un équilibre qu'il ne fallait pas rompre. Malgré cela, le jeune homme sortit donc de sa tanière avec son cheval de couleur blanche, il parcourra les contours du territoires pendant la plupart de la mâtiné, pensant à de nouvelle invention plus intéressante les uns que les autres, bien au chaud dans un manteau à l'abri du vent froid de l'hiver, le jeune homme avançait tranquillement, il était en bordure du royaume de Deimos ayant légèrement traversé la frontière de Alarya, quand il eut un flash, une vision, sa tête lui donna comme un coup de couteau et il vit une jeune femme assez jolie en train de chevaucher et tomber de son cheval en s'évanouissant... Ni une ni deux, Gabriel repris ses esprit et se dirigea vers Deimos aux galops, il arriva alors sur un chemin et vit la jeune femme en question, il s'approcha rapidement et posa pied à terre, la jeune femme avait des cheveux noires assez longs, la couleur de ses yeux n'étaient pas visibles comme ils étaient clos, elles avaient un visage des plus angéliques, Gabriel la pris dans ses bras et la souleva du sol, il l'a mis devant lui sur son cheval et grimpa en selle, il se mis alors au pas en direction d'un endroit tranquille, au passage il pris les rennes du cheval de la jeune femme, après quelques instants de chevaucher calme, il trouva une clairière tranquille. Il déplia alors une couverture et la déposa sur le sol, il allongea la jeune femme dessus et alla dans les bois chercher quelques brindilles pour alimenter un feu pour ce réchauffer, il trouva rapidement les objets qu'il cherchait, il les réunis et avec son invention un briquet en amadou qui étais tout simplement deux silex réunis dans une boite avec une simple poignet et qui faisait lever un des silex et l'abbatait sur l'autre. Après avoir allumer le feu, Gabriel déposa une couverture sur la jeune femme qui c'était évanouie, attendant qu'elle se réveille en soufflant dans une flûte légère entonnant un mélopée des plus douces.

Le noir, les ténèbres, ils me berçaient inlassablement. Je ne pouvais ouvrir les yeux, je ne voulais pas ouvrir les yeux. Je revécus les derniers instants de ma chute… Un vertige, une chute, un choc, une douleur, une sensation, je planais… Je sentais de l’agitation autour e moi… Que dirais mon père s’il apprenait cela ? Il me dirait sûrement que je n’étais qu’une petite imprudente…Je senti mon corps être soulevé, de puissants bras m’arrachèrent du sol, on me plaça sur, de toute évidence, une selle. Je sentais les mouvements de l’animal. Soudain nous nous arrêtâmes et on m’étendit par terre. Je décidais donc d’ouvrir les yeux ; ma vision me révéla que mon sauveur, fut un homme de taille moyenne, aux longs cheveux aussi sombre que les miens, ses yeux noirs aux reflets bleutés complétaient parfaitement son visage aux traits fins. Je me retrouvais donc en compagnie d’un bel inconnu, ce qui n’avait rien de déplaisant.
-Qui, êtes-vous ? Je me nomme Eïra d’Améthyste, annoncez-vous dis-je en me relevant . Aussitôt ma tête se remit à tourné, me forçant à me rasseoir…


Dsl; je suis malade et pas d'inspi><

Le jeune homme n'eut pas vraiment longtemps à attendre, il joua de la flute que deux minutes, la jeune femme avait ouvert, les yeux, dévoilant des yeux de couleurs rouges, le jeune homme arrêta son air et écouta la femme au cheveux noires parler:

-Qui, êtes-vous ? Je me nomme Eïra d’Améthyste, annoncez-vous.

Alors comme ça elle était de Deimos... Pas étonnant, après tout il était sur le territoire du feu, il regarda alors la jeune femme dans les yeux et lui dis avec un sourire:

- Je suis Gabriel Hécatombe, mais autrement je suis inventeur et chevalier de l'ordre d'Ambre, je suis ici car j'ai eu une de mes prémonitions voyants que vous auriez besoin d'aide, et suivant mon instinct je vous ai trouver, mais dites moi allez-vous mieux, puis-je vous proposer à manger ?

Gabriel savait qu'il n'avait rien à fais dans le royaume de Deimos, mais cette jeune femme avait eu besoin d'aide et puis il partirais sur le champs si on lui demandais, mais bizarrement il voulait en savoir plus sur Eïra, après tout on ne sauve pas la vie d'une jolie femme tout les jours.

- Je suis Gabriel Hécatombe, mais autrement je suis inventeur et chevalier de l'ordre d'Ambre, je suis ici car j'ai eu une de mes prémonitions voyants que vous auriez besoin d'aide, et suivant mon instinct je vous ai trouvé, mais dites moi allez-vous mieux, puis-je vous proposer à manger ?
Je regardais l’homme à la longue chevelure ébène, je ne pouvais pas le cacher, c’était une agréable découverte ! Je me laissais bercer par ses yeux noirs aux magnifiques reflets bleutés…
-Je….Heu …mais oui….Bien sûr….Avec plaisir.
Je reprenais mon souffle, ce chevalier d’Ambre exerçait sur moi une drôle d’influence, pas que par son physique… Il avait une véritable présence, son intention me paralysa.
-Alors, vous êtes, chevalier d’Ambre ? Eh bien, je suppose que cela doit-être aussi difficile d’être dans cet ordre que dans le mien. Inventeur disiez-vous donc ? J’étais intriguée… Qu’inventez-vous donc ? Cela doit-être passionnant ! Je suis désolée si je vous agace avec mes bavardages, je vous suis simplement reconnaissante de m’avoir « sauvé ». Si vous permettez, Gabriel j’ai une dernière question ; Prémonitions ? Vraiment ? Cela doit être votre pouvoir supplémentaire, cela doit vous être terriblement utile, moi à vrai dire il ne m’a pas encore servi à grand-chose.
Je l’observais, je n’avais pas eu la chance de rencontrer d’homme aussi séduisant que lui dans ma courte existence.
-Vous m’intriguez au plus haut point, Gabriel, un inventeur, voyant l’avenir doublé d’un charme peut commun. Je me senti rougir, quel impudence ! Je me mordis les lèvres.
-Je ne voulais pas dire, ça, je suis confuse… Grimaçant, je me médis intérieurement ; de un, aucune chance pour que Gabriel ne remarque pas que je fus une princesse, je m’exprimais bien trop posément, de deux, quel envie m’avais piquée pour que je me mis à dire de telles vérités devant un quasi –inconnu.
-Veuillez m’excusez, encore une fois, je vous prie de me tutoyez, ce n’est pas comme si j’étais une princesse ou autre.
Finement joué cette fois si, je n’avais vraiment pas envie de lui avouer qui j’étais vraiment.

Eïra me fixais dans les yeux, je fus légèrement gêné et détourna le regard en rougissant, je ne savais pas pourquoi elle me fixais comme cela, mais je reporta mon attention sur elle:

-Je….Heu …mais oui….Bien sûr….Avec plaisir.

Je souris et me leva, je pris des fruits et du pain accompagné de fromage dans mes sacoches, je revins vers la jeune femme aux cheveux de couleurs ébènes et déposa les aliments sur le sol, je me rassis alors en face d'elle, elle avait de l'appétit c'était déjà ça de bien...

-Alors, vous êtes, chevalier d’Ambre ? Eh bien, je suppose que cela
doit-être aussi difficile d’être dans cet ordre que dans le mien.
Inventeur disiez-vous donc ? J’étais intriguée… Qu’inventez-vous donc ?
Cela doit-être passionnant ! Je suis désolée si je vous agace avec mes
bavardages, je vous suis simplement reconnaissante de m’avoir « sauvé
». Si vous permettez, Gabriel j’ai une dernière question ; Prémonitions
? Vraiment ? Cela doit être votre pouvoir supplémentaire, cela doit
vous être terriblement utile, moi à vrai dire il ne m’a pas encore
servi à grand-chose. Vous m’intriguez au plus haut point, Gabriel, un inventeur, voyant l’avenir doublé d’un charme peut commun.

Elle rougis à ses paroles, moi je souris, on ne m'avais dis ça pas mal de fois je dois l'avouer, mais jamais de cette façon encore, mais je laissa continuer la chevalière dans ses paroles:

-Je ne voulais pas dire, ça, je suis confuse… Veuillez m’excusez, encore une fois, je vous prie de me tutoyez, ce n’est pas comme si j’étais une princesse ou autre.

Elle parlait assez bizarrement sur la fin, comme si elle était une princesse ? Peut-être étais-ce un dicton du royaume de Deimos, je devrais m'intéresser plus aux coutumes et autres choses des autres royaumes, mais bon, je descida de répondre aux questions de la jeune femme, et il y en avait beaucoup d'afillée je dois l'avouer:

-Premièrement merci pour le compliment, je souris et continua, bon je vais répondre à vos questions, alors... Oui je suis bien chevalier d'Ambre et je pense que oui en ce qui concerne la difficulté entre les deux ordres, quand à l'inventeur, oui j'en suis aussi un, mais je vais vous montrer cela après, quand à mes prémonitions, effectivement il s'agit de mon pouvoir secondaire, il est assez utile mais des fois les prémonitions sont plus ou moins flous, et elles n'arrivent sans prévenir, sa donne un sacré mal de tête en tout cas,voila j'ai répondu à vos questions principales, vous en connaissez donc plus sur votre "sauveur".

Je souris et me leva, j'allai fouiller dans les sacoches de mon cheval et en sortit une boule de fer grise avec des filets d'or à certains endroits, je m'approcha alors de Eïra et me pencha vers elle, je lui déposa la boule dans les mains et m'assis devant elle, je lui dit alors:

-Voici l'invention qui ma permis de me faire remarquer par la famille royale de Ambre, il s'agit d'un oiseau mécanique qui peut emporter des messages, plus rapide que les autres oiseaux et plus agiles il est incroyables, il peut aussi être un bon compagnon.

Je toqua alors sur la surface métallique que tenais la chevalière d'Amesthyste et alors, un bec et tout ce qui faisais un oiseau se développa, bientot il battit des ailes et vola sur une branche alentours, il se mis alors à chanter comme les oiseaux, mais la seul chose bizarre dans cette oiseau c'était ses yeux bleus et sa peau métallique rien d'autres, je souris à la jeune femme et siffla, le petit oiseau métallique vola dans ma mains et regarda la jeune femme, j'attendis sa réaction, on ne voyais pas celà tout les jours.

-Premièrement merci pour le compliment, bon je vais répondre à vos questions, alors... Oui je suis bien chevalier d'Ambre et je pense que oui en ce qui concerne la difficulté entre les deux ordres, quand à l'inventeur, oui j'en suis aussi un, mais je vais vous montrer cela après, quand à mes prémonitions, effectivement il s'agit de mon pouvoir secondaire, il est assez utile mais des fois les prémonitions sont plus ou moins flous, et elles n'arrivent sans prévenir, sa donne un sacré mal de tête en tout cas, voilà j'ai répondu à vos questions principales, vous en connaissez donc plus sur votre "sauveur".
Je souris, je pensais qu’il allait s’arrêté là mais il se leva et j’en profitai pour croquer dans un fruit de couleur orange. Il se dirigea vers sa monture et sortit de ses grosses sacoche, se qui semblait-être une boule en métal, il revint vers moi et me déposa l’objet dans le creux des mains. Quelques files d’or parsemait la matière grise.
-Voici l'invention qui ma permis de me faire remarquer par la famille royale de Ambre, il s'agit d'un oiseau mécanique qui peut emporter des messages, plus rapide que les autres oiseaux et plus agiles il est incroyables, il peut aussi être un bon compagnon.
Il se rapprochait de moi et toqua sur la matière intrigante, d’abord un bec ensuite les ailes et puis tout le reste. S’envolant de ma main à celle de Gabriel je regardais ébahie l’oiseau chanté comme les nôtres.
-Prodigieux… Dis-je épatée. Vous avez un talent non négligeable. Que diriez-vous de me montrez vos capacités, qui j’en suis sûre, sont tout aussi admirables que celles qui font de vous un grand inventeur.
Je me levais et pris mon épée, ma tête ne tournait plus et j’admirais le paysage, respirant l’air de mon pays natal. Je me dirigeais d’abord vers ma monture et plaçais mes dagues de façon à les prendre facilement, c’étais un combat amical mais il fallait être prudente… Toujours, même face à un ami.

-Prodigieux… Dit-elle épatée. Vous avez un talent non négligeable. Que
diriez-vous de me montrez vos capacités, qui j’en suis sûre, sont tout
aussi admirables que celles qui font de vous un grand inventeur.

Tant d'éloge pour moi était vraiment un honneur d'un membre d'un autre ordre de chevalerie que celui d'Ambre, je regarda alors Eïra se lever afin de prendre son épée, à première vue elle n'avait pas l'air d'avoir mal, elle était guéris, tant mieux... Elle se dirigea alors vers les sacoches de son cheval et en sortit deux dagues, je me leva alors à mon tour et alla vers mon cheval, je lui flatta l'encolure et pris mon épée que j'attachai autour de ma taille, je la sortit alors de son fourreau, la lame rouge étincela sous le soleil, je sortis alors les deux mini-dagues qui était sur le pommeau avec une tête de basilic, je vérifia si elles glissaient bien du manche, un bruit peu aigu s'actionna quand elles sortirent, je souris, et les remis, je pris alors mon épée à plaine main et regarda si Eïra était prête... Bon je n'étais pas l'un des meilleurs à l'épée mais je me débrouillais bien n'empêche, je demanda alors avec un sourire:

-Prête ?

Ce combat amical risquait d'être très intéressant...

-Prête ?
J'acquiestais doucement et le combat s'engagea. J'attaquais en première et Gabriel para mes coups avec habilité. Je révisais ma stratégie, jouant plutôt sur la défensive, ses coups étaient puissants et j'eu dur de les parés, mes coups à moi étaient plus basés sur la souplesse et la ruse, non sur la puissance. Mes bras devenaient lourds, il fallait que je réagisse vite si je ne voulais pas m'écraser comme une débutante contre ce bel inventeur, redoublant d'effort, je passais de la posture défensive à la posture offensive. Je multipliais les coups, rapides, ils n'étaient bien sûr pas très puissants, mais avec la vitesse, je ne donnais pas l'occasion à mon adversaire de se reposer.

Soudain, il trouva une brèche et mon épée vola quelques mètres plus loin. je dégainai ma dague longue et reparti à l'assaut. J'étais en désavantage certain. Je trouvais mon rythme et poursuivi le combat. Il se débrouillait bien pour un inventeur, cela faisait maintenant un bon bout de temps que nous nous battions et je commençais à faiblir.
-Je pense que nous sommes parti pour un combat sans fin messire!

-Je n'en suis pas si sûr.
Je profitais de son inatention subite pour, en un mouvement de poignet le désamer. La mine triomphante, j'essayais de de ne pas paraître trop victorieuse. Comme disait mon père, il fallait se montrer; Honnête, modeste et humble, ainsi que bon joueur. Là seulement on était un bon combattant.
-Vous avez gagner.

A bout de souffle, il s'allongea, le souffle court, la respiration soufflante. Je ne pus que remarquer que j'avais les mêmes "stigmates". Essoufflée je m'assi à ses côtés.
-En arme, c'est vous la meilleure, moi mon rayon c'est les inventions, enfin bref...

Je ne pensais pas qu'il soit moins bon que moi.L'inatention ou l'ereur était humaine.

-A quoi, réfléchissez-vous ? Si c'est à moi je m'étonne de pouvoir rester dans les pensées d'une chevalière d'un autre ordre que le mien.

Je ris, mon rire cristallin se répercuta dans toute la vallée.
-Je ne vois pas pourquoi vous ne pourriez pas les occupez. Même si je n'occupe pas les vôtres, car dites moi il y a certainement une gente dame qui fait battre vôtre coeur.
À vrai dire je pensais à votre royaume, est-il différent du nôtre? Heuuu... En fait je ne pensais pas à ça... J'essayais de m'imaginez vôtre quotidient... Le mien est plutôt ennuiyeux ces temps-ci, il faut dire que je suis souvent seule...

Un rire... Un léger bruit cristallin représentant un certain amusement, en ce temps de guerre peut de gens voulait rire et cela en étais bien dommage, moi qui aimait rire...

-Je ne vois pas pourquoi vous ne pourriez pas
les occupez. Même si je n'occupe pas les vôtres, car dites moi il y a
certainement une gente dame qui fait battre vôtre cœur.
À
vrai dire je pensais à votre royaume, est-il différent du nôtre?
Heuuu... En fait je ne pensais pas à ça... J'essayais de m'imaginez
vôtre quotidien... Le mien est plutôt ennuyeux ces temps-ci, il faut
dire que je suis souvent seule...

Ce fut à mon tour de rire, je ricana et répondit à Eïra:

-Eh bien, non, aucune "gente dame" ne fais battre mon cœur pour l'instant, il n'y donc pas de madame Hécatombe pour l'instant. Quand au royaume où je vis, il n'est pas différent du votre hormis que nos habitations sont sous terre comparé au votre, nous mangeons les mêmes choses que vous hormis quelque spécialité local que vous ne posséder pas, nous dormons comme vous, même si il est difficile de savoir l'heure qu'il est sans voir le soleil, mon quotidien n'est pas très ennuyant, car en plus d'inventeur je fais office de réparateur pour les jouets des enfants, chaque objet d'enfant qui n'a pas été créer par moi m'intéresse et je souhaite souvent le démonté pour mieux le réparer, et comme j'ai mon propre laboratoire, je n'ai pas le temps de m'ennuyer... Mais dîtes moi qu'est-ce qui vous dis que vous n'occupez pas mes pensées gente demoiselle ?

Je m'étais redressé et la regardais d'un air espiègle avec un sourire, je l'avais piégée à sa propre question, elle n'allait certainement pas s'empêcher de rougir...