Les ombres de Keleith (PV Squall)

Après sa discussion matinale avec Squall, Zéphyra était partie dans sa chambre pour changer de tenue. Elle retira sa robe de nuit et fouilla dan une des armoires qu'il y avait dans sa chambre pour y prendre les vêtements qu'elle porterait pour la journée. Elle prit pour vêtements une tunique qui était d'un vert forêt et un pantalon brun. Elle enfila le tout avant de prendre sa paire de botte en cuire brun. La femme Chevalier allait sortir lorsqu'elle se rendit compte qu'elle oubliait sa bourse de cuire, elle aurait besoin la où elle irait puisque sa destination était la place marchande. Zéphyra prit sa petite bourse en cuire brun et la noua à sa ceinture. Zéphyra ne rendait pas à la place marchande en étant que Chevalier de l'Ordre d'Ambre, mais plutôt en simple citoyenne de la capital, pour se faire, elle s'était fait deux tresses avec ses cheveux et ne prit aucune arme, pas même sa dague dont elle se servait pour son auto-défense lorsqu'elle n'avait pas sa lance fétiche. Celles-ci descendait le long de ses épaules, une de chaque côté. Zéphyra les plaça de façon à se que ses tresses longent son torse, de chaque côté de sa poitrine. Prête à cette instant, elle quitta la forteresse pour se rendre à la place marchande.

Après près d'une demi-heure de marche (elle avait pris son temps), Zéphyra arriva à destination. La femme Chevalier n'avait guère l'habitude de se rendre sur la place marchande puisqu'elle avait tout se dont elle pourrait avoir besoin à la forteresse, vêtement, nourriture, etc. Elle arpenta les rue, allant de gauche à droite, regardant la marchandise que les divers vendeurs possédait, bien placée sur leur étalage. Aux yeux de Zéphyra, tout lui semblait sans aucun problème. Après tout, il était de son devoir de protéger le royaume de Talweg, que se soit des autres nation ou des criminels de son propre royaume, mais comme elle avait prit la décision plus tôt, elle n'interviendrait qu'en cas de cas majeur, les gardes de la ville souterraine était là pour cela eux et pour rien d'autre, eux. Tandis qu'elle se promenait, tous les passants la dévorait du regard tant elle avait une allure gracieuse et une beauté quasi-divine. Tous ces gens qui la regardait faisaient de même seulement pour l'admirer, mais une paire d'yeux regardait au niveau de sa ceinture, plus précisement sur sa hanche droite, la où se trouvait sa bourse, cete bourse contenait une belle petite somme et semblait bien lourde aux yeux du voleur. Il se dit intérieurement, avec un sourire narquois, qu'il pourrait aider cette jeune dame en lui enlevant du poids à trainer...

Zéphyra continuait ses allé-et-venu lorsqu'un objets attira son attention, une statuette du Basilic taillée dans de l'ambre pur. Le Chevalier d'ambre était fasciné par la perfection de cette objet à l'effigie du protecteur de Talweg. Ces yeux ne s'en détachant pas, Zéphyra s'approcha du comptoir du marchand qui avait cette oeuvre-d'art. Elle approcha le marchand et lui demanda la valeur de l'objet convoité. Le marchand haussa les épaules, ne sachant pas vraiment le prix. Il admit que cette statuette s'était retrouvé sur son étalage quelques heures plus tôt, donc il dit à Zéphyra d'offrir ce qu'elle pensait être le juste prix. Lorsqu'elle s'en alla pour prendre sa bourse, question de compter la somme qu'elle avait sur elle, un homme aux allures étranges accrocha la femme avec son épaule droite. Il portait une tunique noire avec un capuchon qui était rabaissé, laissant voir le visage de l'homme, un pantalon tout aussi noir une paire de botte de cuir brun. Il se retourna puis s'excusa, avant de continuer sa route. Quand Zéphyra 'sapprêtait à finalement prendre sa bourse, elle se rendit compte qu'elle ne l'avait plus. Elle pivota sur elle-même cherchant du regard l'homme l'ayant accorché un peu plus tôt. La femme Chevalier l'aperçut. Au même moment, l'homme se mit à courrir, étrangement, il ne courait pas très vite, en tous cas, pas assez vite pour que Zéphyra ne le perde de vue. Zéphyra le prit en chasse, détalant les rues jusqu'à ce que l'homme s'arrête dans un cul-de-sac.a femme Chevalier s'approcha lentement de l'homme qui faisait face dans la direction opposée de la femme.

- Excusez moi, mais je crois que vous avez quelque chose qui m'appartient. Pour être plus précise, je dirais même que c'est ma bourse.

L'homme étouffa un rire et se retourna, faisant finalement face au Chevalier d'Ambre, un sourire narquois aux lèvres.

- Ah bon? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Je ne vous fuyait pas, je venais juste de me rendre compte que j'étais en retard pour un rendez-vous que j'ai...

Expliqua l'homme, toujours son air malsain au visage. Zéphyra avança et tendit le bras, la main ouverte, vers l'homme.

- Dans ce cas, redonné moi ce qui m'appartient et vous pourrez vous rendre à votre soi-disant rendez-vous et moi je pourrais continuer ma route.
- Hélas, ma gentille demoiselle, mon rendez-vous à lieu ici même, donc je ne crois pas que ce soit aussi simple que vous le vouliez...


Un groupe d'hommes sortit des coins sombres de la ruelle dans laquelle se trouvait Zéphyra et l'autre homme. Tous était armé de gourdin de bois ou bien de dague. Le premier réflexe de Zéphyra fut de dégainer son poignard... Qu'elle n'avait pas !

* Comment ai-je pu oublier mon poignard? Me voilà dans le beau drap ! *

Une fraction de seconde plus tard, elle se concentra pour appeler l'un de ses frères d'arme par télépathie.

** Squall, où es-tu? Je me suis fait tendre une embusquade par des voleurs dans une ruelle de la place marchande et je ne suis pas armé. Dépêche toi de me trouver ou vous devrez trouver un nouveau chef. **

Zéphyra pria les dieux que son frère d'arme arrive à temps.

Après la longue discution avec zéphyra dans le hall, je me sentais tout troublés, je ne savais que penser. Elle m'avait embrasser et m'avait dit je t'aime. Je m'étais alors rendu dans les bains puis tout en savourant la chaleur réconfortante je m'étais fait massé étendu sur la pierre chaude. J'étais ensuite sorti en me rhabillant, j'avais l'impression qu'on m'appelait, mais je n'y fit pas attention. Je croisais plusieurs chevaliers sur ma route qui me menait au réfectoire, je mangeais tranquillement lorsque cette fois j'entendis comme une vois dans ma tête qui appelait au secours; Je ne sais pour quelle raisons, mais je me précipitais vers la chambre de zéphyra, je vis qu'elle avait oublié son poignard alors qu'il n'en était pas coutume, je pris le poignard, mon épée et sortit en ville pour aller à sa recherche, tout me conduisit à la place marchande, il y avait un monde fou et je ne voyais pas à deux mètre à la ronde. Les étales devant lesquelles je passaient étaient pleine à craquer.

*Bon sang mais où est-elle ?*

Je continuais de chercher et arrivait finalement devant une ruelle sombre à première vue, je ne voyait pas très loin devant moi, je choisit alors de me fondre légèrement dans le paysage juste pour éviter un embuscade. Je me posta à un endroit où je vis Zéphyra qui se tenait au milieu de trois hommes peut-être plus. Zéphyra se tenait entre eux et ne portait pas sa dague. Le message de détresse provenait bien de là car je l'entendit encore. Je m'approchait légèrement d'un des colosses, il étaient cinq en fait, deux très grand, un qui portait un bourse, surement celle de zéphyra et trois autre maigrichon, des affamés surement.

*Alors comme ça on s'en prends au faible sans défense, vous allez voir*

Je sortit la dague de Zéphyra et fit une estafilade dans le cou du premier. Celui-ci se retourna et mit sa main à la gorge, il tenta de me frapper mais je l'esquivais et lançait la dague à Zéphyra, je dégainai mon épée et frappait un autre qui esquiva. Les quatre sur cinq étaient sur moi. Je tentai d'esquiver les attaques, mais un dague vola et attérie à côté de mon œil. juste en dessous, je serrais les dents de douleur et pour éviter de me déconcentrer. Je coupais un main à un des adversaires et sentit quelque chose pénétrer ma chair près de mon ventre, je regardais il y avait une flèche planté dedans, je la retirais et la laissa tomber par terre. Quelle idée de se battre avec pour simple armure des épaulettes et des gants en fer, le reste à découvert ( juste pour le haut ^^ pas de fausses idées). Je tenais quatre front à la fois, et un cinquième qui me tirais dessus et que je ne parvenais pas à distinguer, je reculais petit à petit et finit par me retrouver contre le mur. L'un deux arriva une grosse matraque à la mains et me frappa de plusieurs coups que je parais avec ma lame, mais me pris un autre coups dans le bras, je perdais beaucoup de sang et si je continuais comme ça, j'allais finir par me retrouver mort. Mais il fallait que je tienne ne serais-ce que pour Zéphyra. Ma vue se troublait au fur et à mesure que encaissait les coups. Du sang coulait de mon bras par une longue estafilade et la flèche avait causé beaucoup de dégâts. La blessure à mon oeil m'empêchait de voir correctement. Il fallait au moins que j'en tue un, je me relevais après avoir mis un genou à terre et vit une épée se diriger vers moi, je l'esquivais en titubant et frappa un adversaire dans les côtes, j'entendis un craquement, surement ses côtes qui s'étaient brisées. Puis je me rendit conte, que c'était les mienne s qui venait de se brisées lorsque j'entendis ma respiration me quitter.
Je m'éffondrais par terre et vit avant de tomber Zéphyra qui me regardait en hurlant.

Lorsqu'elle vit Squall arriver à son secours, Zéphyra remercia intérieurement le Basilique de l'avoir sauvé. Du coup Squall attaqua l'un des brigands. Zéphyra fut étonné par la tournure des choses, Squall se retrouva avec les cinq brigands sur lui juste après qu'il eut lancé sa dague à Zéphyra. Elle vit Squall se faire attaquer de toute part. En plus, il y avait cet archer de malheur qui lui tirait dessus. Elle devait s'en débarasse coûte que coûte. Elle se dirigea discrètement derrière l'archer en question, c'était très facile puis'qu'elle ne portait pas son armure, enfin un avantage! Elle prit son élan et poignarda l'archer en plen coeur, sectionnant sa colonne vertébrale du même coup. Un de moins. Comme l'archer avait une dague sur lui, Zéphyra en profita pour la ramasser. Elle avait un talent innée pour se battre en usant de deux armes, même si elle préférait utiliser sa lance. Usant de la vitesse et de l'agilité que lui procurait ses vêtements, réussit à blesser l'un des brigands à l'arrière de la tête, le faisant perdre conscience et saigner abondemment Il en restait trois sur Squall, elle en blessa un légèrement pour attirer son attention sur elle-même. Zéphyra se plaça de façon stragégique, de façon à ce que le brigand qui l'attaquait atteigne un de ses complices lorsqu'elle évita le coup partiellement, étant éraflée au bras droit. Du coup, elle retrouva avec deux brigands sur elle-même. Zéphyra se débrouillait tant bien que mal contre ses deux adversaires lorsqu'elle vit Squall s'effondrer.

- Squall! Non!

À cause de cette distraction, l'un des bandits l'atteint à l'épaule droite, le disloquant. Elle étouffa un cri de douleur. Elle lâcha la dague qu'elle tenait dans sa mains droite. Zéphyra évitait du mieux qu'elle le pouvait les attaques des deux brigands, lorsque le troisième se rajouta à la liste d'adversaire. Sans sa lance et son armure elle ne pourrait vaincre trois brigands. Zéphyra tenta de se concentrer du mieux qu'elle le pu tout en essayant d'éviter les assauts, tentant le tout pour le tout, user de son invisibilité. Elle se servirait de se pouvoir pour au moins sortir de la ruelle sombre et ainsi attirer l'attention des gardes ou au moins tuer les brigands par surprise en se cachant parmis la foule de gens qu'il y avait. Son invisibilité fonctionna, surprenant les bandits qui furent abasourdient par cet étrange évènement. Le plan de ZÉphyra fonctionna, elle se rendit hhors de la ruelle et aperçut un garde qu'elle alla rejoindre sur le champ. La femme Chevalier lui expliqua la situation du mieux qu'elle le put avec le temps qu'elle avait. Le garde apostropha un de ses collègues. Les deux gardes, qui étaient en armure, allèrent avec Zéphyra dans la ruelle où les brigands se trouvaient toujours. Du coup, ils tentèrent de s'échapper, en vain. Ils décidèrent donc de s'en prendre au garde et à Zéphyra. Les gardes n'eurent d'autres choix que de tuer les brigands, se qu'ils firent sans aucune difficulté, usant de leurs épées et boucliers pour se battre. Après le combat qui ne dura que quelques secondes, Zéphyra alla récupérer sa bourse avant de se diriger vers Squall qui était toujours inconscient. Elle avertit les gardes de la situation de Squall. Immédiatement, l'un des gardes alla à la recherche de ce qu'il aurait de besoin pour au moins faire les premiers soins à Squall. Lorsqu'il revint quelques minutes plus tard, lui et son collègue ne tardèrent à soigner partiellement Squall du mieux qu'ils le purent. Zéphyrea, qui se sentait inutiles et pleine de culpabilité pour ce qui était arrivé à Squall, regarda les gardes faire, espérant de tout son coeur que Squall résiste.